Unique buteuse lors du match aller, Wendie Renard fait partie des joueuses lyonnaises ayant ensuite été touchées par le Covid-19. Thomas SAMSON — AFP

Cette fois, le Parc OL accueillera bien dimanche (14 heures) un sommet entre Lyonnaises et Parisiennes. Tout comme en D1 féminine 18 jours plus tôt (le PSG était alors touché), le quart de finale retour de Ligue des champions entre les deux plus grosses équipes françaises n’avait pas pu se dérouler comme prévu, le 31 mars, en raison de nombreux cas de Covid-19 à l’OL. Au total, 15 joueuses et membres du staff ont été testés positifs au coronavirus entre le 26 mars et le 5 avril.

Ce mardi, le club lyonnais informe que les derniers tests PCR réalisés la veille n’ont plus révélé le moindre cas de Covid-19 au sein de son groupe professionnel féminin. Encore dans l’attente de ses internationales convoquées lors de cette trêve, qui devront elles aussi réaliser des tests PCR dès leur retour de sélection, l’OL s’apprête à pouvoir enfin reprendre ses entraînements collectifs.

Le club rappelle ce mardi, dans un communiqué, avoir respecté « les dix jours d’isolement requis par l’ARS », avant de mettre en place « un protocole de reprise individuelle afin de préparer au mieux le quart de finale retour de Ligue des champions ». Malgré son but d’avance de l'aller (0-1), cette préparation très complexe rend ce nouvel affrontement avec le PSG plus indécis que jamais.

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